jueves, 26 de enero de 2012

Gran victoria para la vida en Europa: «La eutanasia debe ser prohibida siempre ».

Casi como un teletipo me salta en el correo esta felicitación del European Centre for Law and Justice (ECLJ). El Consejo de Europa ha dictado varias resoluciones pro-vida, que no dejan de sorprender. De las recientes que me vengan a la memoria:

Condena y vigilancia del aborto como herramienta de selección de sexo.
El reconocimiento de la «dignidad» de la persona en su estado embrionario –en principio para evitar que se patenten—y la consideración de todo óvulo humano como embrión a partir de la fecundación.
Ahora también afronta la cuestión de la eutanasia, y en la resolución 1859 (2012), de ayer 25 de enero dictamina que (la traducción no es oficial, es mía; las negritas también):

5.- Esta resolución no tiene la intención de afrontar los problemas de la eutanasia o el suicidio asistido. La eutanasia, en el sentido de la muerte intencional, por acción u omisión, de un ser humano en función de su presunto beneficio, debe estar prohibida siempre. Esta resolución se limita a la cuestión de las «voluntades anticipadas», testamentos vitales y poderes de representación permanente.

Pero aún hay más.





Detalla a continuación los principios sobre esos testamentos, que deben ser respetados en cuanto. También los convenios y acuerdos internacionales. Termina primorosamente:

7.8 […] y, en caso de duda, la decisión siempre debe ser pro-vida y a favor de la prolongación de la vida.

He tenido que releerlo varias veces.

La resolución no es jurídicamente vinculante, pero sí que ayudará a crear jurisprudencia y criterios de aplicación. La primera prueba la tendremos en el caso Koch contra Alemania que está en el Tribunal Europeo de Derechos Humanos, en el que el Sr Koch demandó al estado por no aplicarle la eutanasia a su esposa.
Les charges retenues contre d’anciens membres du gouvernement ukrainien doivent être abandonnées, selon l’APCE

Strasbourg, 26.01.2011 – L'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE) demande que les charges retenues contre d’anciens membres du gouvernement ukrainien, dont l'ancien Premier Ministre Ioulia Timochenko, soient abandonnées. Elle a demandé au Président de l’Ukraine de les libérer et de leur permettre de se présenter aux prochaines élections législatives.

Dans une résolution adoptée aujourd’hui, sur la base d’un rapport de Mailis Reps (Estonie, ADLE) et Marietta de Pourbaix-Lundin (Suède, PPE/DC), l’Assemblée s’est dite préoccupée par la dégradation de l’état de santé de Mme Timochenko, et a appelé les autorités à autoriser un traitement par des médecins indépendants.

Les parlementaires ont déclaré que « le champ d’application des articles du Code pénal ukrainien utilisés pour engager des poursuites est beaucoup trop large et que ces articles permettent effectivement une pénalisation post facto de décisions politiques normales, ce qui est contraire au principe de l’État de droit et inacceptable. »

Ces problèmes découlent de « déficiences systémiques » dans le système de justice en Ukraine, selon l’Assemblée. Elle a énoncé une série de mesures à prendre pour accroître l'indépendance du pouvoir judiciaire, diminuer le recours excessif à la détention provisoire et mettre fin au parti pris en faveur de l'accusation. Ses membres ont également réitéré leur appel en faveur d'une réforme constitutionnelle et de nouvelles modifications de la législation électorale ukrainienne.

Si ces recommandations, et notamment celles qui concernent les poursuites pénales engagées contre des membres de l’ancien gouvernement, n’étaient pas appliquées dans un délai raisonnable, cela ferait peser de sérieux doutes sur l’adhésion des autorités aux principes de la démocratie et de la prééminence du droit, selon l’Assemblé.

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